Cancer : 17 aliments contre le cancer

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Cancer : 17 aliments contre le cancer 

Aujourd’hui, on estime que plus d’une personne sur trois en Occident aura à combattre un cancer au cours de sa vie et que, malheureusement, une personne sur quatre perdra cette bataille. Or, l’alimentation serait responsable de plus du tiers des nouveaux cas de cancers diagnostiqués. Ces statistiques soulignent l’importance d’une alimentation saine et intelligente pour réduire l’incidence aussi bien que la progression du cancer. 

Cancer : 17 aliments contre le cancer 

Ail


Des études antérieures ont déjà suggéré que l'ail peut protéger les poumons contre les diverses agressions, et pouvait aussi conjurer d'autres tumeurs malignes, comme le cancer du côlon.
Une autre étude de l'Université de l'Australie du Sud a révélé que l’ail pourrait réduire de 30% le risque de tumeurs de l'intestin.
Cet effet de l’ail semble être lié à une substance chimique appelée l’aciline, libérée lorsque la gousse est écrasée ou hachée.
"En agissant sur certaines enzymes, l’ail frais ou macéré élimine les molécules carcinogènes au niveau du côlon et du foie", explique les chercheurs. «Sont appelées "carcinogènes", les molécules susceptibles d’endommager l’ADN des cellules et, par cette mutation, de provoquer un cancer. L’ail a également une action préventive sur d’autres tumeurs (estomac, col de l’utérus…), car il aide le foie à désintégrer ces molécules carcinogènes et à les éliminer».

Bleuet, framboise, mûre
Les petits fruits rouges comme les fraises, framboises, myrtilles, mûres... contiennent une grande quantité de polyphénols aux effets anticancéreux.
Le principal est l'acide ellagique. Il est le plus susceptible de  perturber le développement du cancer.
C'est tout d'abord un détoxifiant pour les cellules. Il empêche la transformation de plusieurs cancérigènes de l'environnement en substances toxiques pour les cellules et leur fait perdre leur capacité d'action sur l'ADN et ainsi d'induire les mutations pouvant déclancher un cancer

Brocoli, chou,chou de Bruxelles,chou-fleur

Une nouvelle étude vient de confirmer les bienfaits des brocolis et des choux de Bruxelles. Ces deux crucifères, en effet, renferment une substance qui s’opposerait à la prolifération des cellules cancéreuses, l’indole-3-carbinol (I3C). A ce stade pourtant, les preuves n’ont été recueillies que sur des souris.

Des chercheurs de l’Université de Columbus, aux Etats-Unis, viennent en effet de montrer que l’I3C est capable de détruire une molécule absolument essentielle à la division et à la prolifération des cellules cancéreuses, la phosphatase Cdc25a.

Cresson 

 
Le cresson vient enrichir la liste de ces aliments qui ont un effet bénéfique pour la santé. Une équipe de l’University of Ulster (GB) vient en effet de montrer que le cresson a d’importantes propriétés anti-cancérigènes. L’article est publié dans la revue scientifique American Journal of Clinical Nutrition.

Epinard
Les épinards ont de nombreux bienfaits pour la santé. Entre autres, ils aideraient à prévenir certains cancers. En effet, plusieurs études scientifiques récentes ont montré que la consommation régulière d’épinards (au moins une portion de 125 g par semaine) diminuait significativement le risque de certains cancers, en particulier ceux du sein, du poumon et du côlon. 

Attention : l’épinard, à cause de sa richesse en oxalates et vitamines K, est contre-indiqué aux personnes souffrant de coliques néphrétiques ou qui prennent des médicaments anticoagulants.

Curcuma

Au pays du curry, il y aurait moins de cas de cancers qu’en Amérique du Nord. Certains chercheurs attribuent cette situation au curcuma, une épice orangée utilisée dans les plats au curry. Et bien que les études en éprouvette et sur les animaux semblent confirmer les propriétés anti-cancérigènes du curcuma, tout reste encore à découvrir en ce qui concerne l’humain.

En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la prévalence, c’est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus chez nous – cancer du côlon, du sein, de la prostate, du poumon – est dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma.

Echalote
 L’activité antioxydante de l’échalote s’est avérée supérieure à celle de différentes variétés d’oignons et de choux. Cette forte activité antioxydante serait attribuable aux flavonoïdes contenus dans l’échalote. L’échalote contient aussi des quantités non négligeables de bêta carotène et certains composés sulfurés, moins bien connus que ceux présents dans d’autres alliacées. L’effet protecteur des alliacées contre certains cancers, principalement ceux du système digestif, semble être lié à leur contenu en composés sulfurés.

Oignon
 
L’oignon qui renferme des vitamines et des sels minéraux est surtout l’une des meilleures sources en sélénium (antioxydant important luttant entre autres contre le vieillissement) de notre alimentation. Tout comme le brocoli et l’ail, l’oignon a la capacité d’accumuler le sélénium provenant du sol, ce qui mène à la formation de composés contenant du sélénium[1]. Même s’il est difficile de quantifier leurs bienfaits, ces substances pourraient contribuer à l’effet protecteur de l’oignon contre le cancer.

Graines de lin
La graine de lin mérite ce titre grâce à son utilisation diversifiée d’autrefois: on l’a mangé, on en a préparé des toiles, de plus, elle se servait également d’un excellent médicament.

Aujourd’hui, il est connu que la graine de lin a un effet stimulant sur l’activité de l’intestin, elle fait supprimer la constipation et la diarrhé. On sait également qu’elle aide aussi en cas de la gastrite et de l’ulcère de l’estomac. En revanche, on sait moins de l’effet anticancéreux et bienfaisant de la graine de lin.

Poivre noir
Plusieurs études montrent que la curcumine, le principal composant actif du curcuma a une très forte activité thérapeutique anticancéreuse qui aide à prévenir les métastases du cancer du sein.

Les scientifiques disent que la pipérine du poivre noir contribue à ce que la curcumine soit plus efficace dans le combat du carcinome mammaire ou cancer du sein. Les deux composés naturels possèdent des propriétés chimio-préventives contre le cancer du sein. La curcumine et la pipérine inhibent ou limitent l'auto-renouvellement des cellules souches du cancer du sein.

Soya
Le soya se taille une place de plus en plus importante dans l’alimentation nord-américaine. On lui voue plusieurs effets bénéfiques pour la santé, notamment la prévention du cancer du sein en raison de son contenu riche en phytoestrogènes. Cependant, cet effet protecteur n’est pas observé chez toutes les femmes, surtout en Amérique du Nord. Il vaut donc mieux se tourner vers le soya pour sa versatilité en cuisine plutôt que pour ses effets contre le cancer.  

Tomate
 
La tomate, cet hybride de fruit et légume qui se déguste à toutes sauces sucrées comme salées, et sous de multiples formes crues, cuites ou confites, détiendrait d'autres caractéristiques que beaucoup d'eau et un goût fade. Si son impact sur le teint reste de la légende urbaine, son effet sur la santé semblerait, lui, bel et bien réel : il aiderait à lutter contre le cancer de la prostate.
Plusieurs études sur ce sujet ont déjà été menées depuis plus de 10 ans. Une étude des scientifiques de l'Université de l'Illinois, parue en mai 2013, remet la tomate au goût du jour, indiquant que sa consommation régulière pourrait être bénéfique pour l'organisme, notamment pour écarter les risques de cancer de la prostate. Surtout si elle est associée au soja.

Canneberges 
 
Si vous mangez des canneberges, si vous buvez leur jus ou que vous prenez des suppléments de canneberges, vous donnez à votre corps des nutriments qui protègent du cancer. Ces composés chimiques appelés proanthocyanidines (PACS) empêchent la croissance des cellules cancéreuses du poumon, du colon et du sang

Raisin
 
En 2005, des chercheurs de l’Université de l’Illinois (1) ont découvert 10 nouveaux flavonoïdes dans le raisin. Selon des études menées in vitro, ces flavonoïdes pourraient inhiber l’activité d’une enzyme qui entre en jeu dans l’apparition du cancer. Ils seraient particulièrement utiles en prévention des cancers digestifs, comme le cancer du côlon.

Chocolat noir 70 %
 
La présence en quantité élevée de flavonoïdes et de polyphénols, ayant toutes des propriétés antioxydants, dans le chocolat, permet de lutter contre le cancer. Ces substances ont pour action de diminuer la multiplication des cellules cancéreuses et de réduire la propagation de ces cellules dans la circulation sanguine.

Jus d’agrumes

Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumes, dont l’orange, serait reliée à la prévention de certains types de cancers, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une d’elles, une consommation modérée d’agrumes permettrait de réduire les risques de cancers se rapportant au tube digestif et à la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne spécifiquement le cancer du pancréas, les études demeurent toutefois controversées.

Une étude populationnelle suggère que la consommation quotidienne d’agrumes jumelée à une consommation élevée de thé vert (1 tasse et plus par jour) serait associée à une plus forte diminution de l’incidence des cancers.

Thé vert
Boire du thé, en particulier du thé vert, réduirait les risques d'avoir certains cancers du tube digestif, notamment ceux de l'estomac, de l'oesophage et du côlon. C'est le résultat d'une vaste enquête visant à mesurer l'impact de l'environnement et du mode de vie sur la santé, menée auprès de 75 000 femmes chinoises.
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Cancer : 17 aliments contre le cancer 

Aujourd’hui, on estime que plus d’une personne sur trois en Occident aura à combattre un cancer au cours de sa vie et que, malheureusement, une personne sur quatre perdra cette bataille. Or, l’alimentation serait responsable de plus du tiers des nouveaux cas de cancers diagnostiqués. Ces statistiques soulignent l’importance d’une alimentation saine et intelligente pour réduire l’incidence aussi bien que la progression du cancer. 

Cancer : 17 aliments contre le cancer 

Ail


Des études antérieures ont déjà suggéré que l'ail peut protéger les poumons contre les diverses agressions, et pouvait aussi conjurer d'autres tumeurs malignes, comme le cancer du côlon.
Une autre étude de l'Université de l'Australie du Sud a révélé que l’ail pourrait réduire de 30% le risque de tumeurs de l'intestin.
Cet effet de l’ail semble être lié à une substance chimique appelée l’aciline, libérée lorsque la gousse est écrasée ou hachée.
"En agissant sur certaines enzymes, l’ail frais ou macéré élimine les molécules carcinogènes au niveau du côlon et du foie", explique les chercheurs. «Sont appelées "carcinogènes", les molécules susceptibles d’endommager l’ADN des cellules et, par cette mutation, de provoquer un cancer. L’ail a également une action préventive sur d’autres tumeurs (estomac, col de l’utérus…), car il aide le foie à désintégrer ces molécules carcinogènes et à les éliminer».

Bleuet, framboise, mûre
Les petits fruits rouges comme les fraises, framboises, myrtilles, mûres... contiennent une grande quantité de polyphénols aux effets anticancéreux.
Le principal est l'acide ellagique. Il est le plus susceptible de  perturber le développement du cancer.
C'est tout d'abord un détoxifiant pour les cellules. Il empêche la transformation de plusieurs cancérigènes de l'environnement en substances toxiques pour les cellules et leur fait perdre leur capacité d'action sur l'ADN et ainsi d'induire les mutations pouvant déclancher un cancer

Brocoli, chou,chou de Bruxelles,chou-fleur

Une nouvelle étude vient de confirmer les bienfaits des brocolis et des choux de Bruxelles. Ces deux crucifères, en effet, renferment une substance qui s’opposerait à la prolifération des cellules cancéreuses, l’indole-3-carbinol (I3C). A ce stade pourtant, les preuves n’ont été recueillies que sur des souris.

Des chercheurs de l’Université de Columbus, aux Etats-Unis, viennent en effet de montrer que l’I3C est capable de détruire une molécule absolument essentielle à la division et à la prolifération des cellules cancéreuses, la phosphatase Cdc25a.

Cresson 

 
Le cresson vient enrichir la liste de ces aliments qui ont un effet bénéfique pour la santé. Une équipe de l’University of Ulster (GB) vient en effet de montrer que le cresson a d’importantes propriétés anti-cancérigènes. L’article est publié dans la revue scientifique American Journal of Clinical Nutrition.

Epinard
Les épinards ont de nombreux bienfaits pour la santé. Entre autres, ils aideraient à prévenir certains cancers. En effet, plusieurs études scientifiques récentes ont montré que la consommation régulière d’épinards (au moins une portion de 125 g par semaine) diminuait significativement le risque de certains cancers, en particulier ceux du sein, du poumon et du côlon. 

Attention : l’épinard, à cause de sa richesse en oxalates et vitamines K, est contre-indiqué aux personnes souffrant de coliques néphrétiques ou qui prennent des médicaments anticoagulants.

Curcuma

Au pays du curry, il y aurait moins de cas de cancers qu’en Amérique du Nord. Certains chercheurs attribuent cette situation au curcuma, une épice orangée utilisée dans les plats au curry. Et bien que les études en éprouvette et sur les animaux semblent confirmer les propriétés anti-cancérigènes du curcuma, tout reste encore à découvrir en ce qui concerne l’humain.

En Inde, où le curcuma est très répandu dans la cuisine, la prévalence, c’est-à-dire la fréquence, de quatre cancers très répandus chez nous – cancer du côlon, du sein, de la prostate, du poumon – est dix fois plus faible. En fait, le cancer de la prostate, qui est le plus souvent diagnostiqué chez les hommes européens, est rare en Inde, et ce phénomène est attribué, en partie, à la consommation de curcuma.

Echalote
 L’activité antioxydante de l’échalote s’est avérée supérieure à celle de différentes variétés d’oignons et de choux. Cette forte activité antioxydante serait attribuable aux flavonoïdes contenus dans l’échalote. L’échalote contient aussi des quantités non négligeables de bêta carotène et certains composés sulfurés, moins bien connus que ceux présents dans d’autres alliacées. L’effet protecteur des alliacées contre certains cancers, principalement ceux du système digestif, semble être lié à leur contenu en composés sulfurés.

Oignon
 
L’oignon qui renferme des vitamines et des sels minéraux est surtout l’une des meilleures sources en sélénium (antioxydant important luttant entre autres contre le vieillissement) de notre alimentation. Tout comme le brocoli et l’ail, l’oignon a la capacité d’accumuler le sélénium provenant du sol, ce qui mène à la formation de composés contenant du sélénium[1]. Même s’il est difficile de quantifier leurs bienfaits, ces substances pourraient contribuer à l’effet protecteur de l’oignon contre le cancer.

Graines de lin
La graine de lin mérite ce titre grâce à son utilisation diversifiée d’autrefois: on l’a mangé, on en a préparé des toiles, de plus, elle se servait également d’un excellent médicament.

Aujourd’hui, il est connu que la graine de lin a un effet stimulant sur l’activité de l’intestin, elle fait supprimer la constipation et la diarrhé. On sait également qu’elle aide aussi en cas de la gastrite et de l’ulcère de l’estomac. En revanche, on sait moins de l’effet anticancéreux et bienfaisant de la graine de lin.

Poivre noir
Plusieurs études montrent que la curcumine, le principal composant actif du curcuma a une très forte activité thérapeutique anticancéreuse qui aide à prévenir les métastases du cancer du sein.

Les scientifiques disent que la pipérine du poivre noir contribue à ce que la curcumine soit plus efficace dans le combat du carcinome mammaire ou cancer du sein. Les deux composés naturels possèdent des propriétés chimio-préventives contre le cancer du sein. La curcumine et la pipérine inhibent ou limitent l'auto-renouvellement des cellules souches du cancer du sein.

Soya
Le soya se taille une place de plus en plus importante dans l’alimentation nord-américaine. On lui voue plusieurs effets bénéfiques pour la santé, notamment la prévention du cancer du sein en raison de son contenu riche en phytoestrogènes. Cependant, cet effet protecteur n’est pas observé chez toutes les femmes, surtout en Amérique du Nord. Il vaut donc mieux se tourner vers le soya pour sa versatilité en cuisine plutôt que pour ses effets contre le cancer.  

Tomate
 
La tomate, cet hybride de fruit et légume qui se déguste à toutes sauces sucrées comme salées, et sous de multiples formes crues, cuites ou confites, détiendrait d'autres caractéristiques que beaucoup d'eau et un goût fade. Si son impact sur le teint reste de la légende urbaine, son effet sur la santé semblerait, lui, bel et bien réel : il aiderait à lutter contre le cancer de la prostate.
Plusieurs études sur ce sujet ont déjà été menées depuis plus de 10 ans. Une étude des scientifiques de l'Université de l'Illinois, parue en mai 2013, remet la tomate au goût du jour, indiquant que sa consommation régulière pourrait être bénéfique pour l'organisme, notamment pour écarter les risques de cancer de la prostate. Surtout si elle est associée au soja.

Canneberges 
 
Si vous mangez des canneberges, si vous buvez leur jus ou que vous prenez des suppléments de canneberges, vous donnez à votre corps des nutriments qui protègent du cancer. Ces composés chimiques appelés proanthocyanidines (PACS) empêchent la croissance des cellules cancéreuses du poumon, du colon et du sang

Raisin
 
En 2005, des chercheurs de l’Université de l’Illinois (1) ont découvert 10 nouveaux flavonoïdes dans le raisin. Selon des études menées in vitro, ces flavonoïdes pourraient inhiber l’activité d’une enzyme qui entre en jeu dans l’apparition du cancer. Ils seraient particulièrement utiles en prévention des cancers digestifs, comme le cancer du côlon.

Chocolat noir 70 %
 
La présence en quantité élevée de flavonoïdes et de polyphénols, ayant toutes des propriétés antioxydants, dans le chocolat, permet de lutter contre le cancer. Ces substances ont pour action de diminuer la multiplication des cellules cancéreuses et de réduire la propagation de ces cellules dans la circulation sanguine.

Jus d’agrumes

Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumes, dont l’orange, serait reliée à la prévention de certains types de cancers, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une d’elles, une consommation modérée d’agrumes permettrait de réduire les risques de cancers se rapportant au tube digestif et à la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne spécifiquement le cancer du pancréas, les études demeurent toutefois controversées.

Une étude populationnelle suggère que la consommation quotidienne d’agrumes jumelée à une consommation élevée de thé vert (1 tasse et plus par jour) serait associée à une plus forte diminution de l’incidence des cancers.

Thé vert
Boire du thé, en particulier du thé vert, réduirait les risques d'avoir certains cancers du tube digestif, notamment ceux de l'estomac, de l'oesophage et du côlon. C'est le résultat d'une vaste enquête visant à mesurer l'impact de l'environnement et du mode de vie sur la santé, menée auprès de 75 000 femmes chinoises.

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